Plongez-vous dans sa journée de pro :
5h - 7h : Je suis plutôt lève tôt, je me lève vers 5h. Je travaille de 5h à 7h à la maison pour pouvoir finir mes journées tôt vers 18h pour avoir une vraie qualité de vie derrière.
Le matin je vais voir si ma fille est réveillée et ensuite je commence à réfléchir à tout ce que je dois faire durant la journée. Comme me demander si telle subvention a été demandée, si tel client a été relancé, j’essaye de savoir si telle stratégie est cohérente ou si non pour quelle raison.
8h - 18h : Après avoir déposé ma fille, j’arrive au bureau en vélo entre 7h45 et 8h30 au bureau à vélo. Je suis en déplacement environ 2 fois par mois : pendant 3 jours, je me rends dans les locaux parisiens de Ethypik, je vais voir des partenaires clients, mon équipe sur Paris et les différentes personnes travaillant pour Ethypik.
Je n’ai pas de planning type il y a tout le temps des urgences car nos principaux clients sont des clients qui demandent beaucoup d’attention.
La première question que je pose tout le temps à mes collaborateurs est : est ce qu'ils sont heureux de venir au travail, c’est très important pour moi. Par exemple, cela a permis à une personne de changer de poste en passant de business developper à gestionnaire des réseaux sociaux.
Ma journée type c’est avant tout un brief avec chacun des pôles de mon équipe.
Il y a le pôle institutionnel chargé des demandes de subventions soit sur la revitalisation d’un territoire ou les politiques d’emploi de la ville ou des régions. Ethypik est une entreprise agréée ESUS (Entreprise solidaire d'utilité sociale.
Puis avec le pôle scientifique qui s’occupe de mettre au point des outils de détection de talents, de savoir être. On veille à améliorer les questionnaires de recrutement qui seront utilisés sur le terrain.
On enchaîne avec le pôle recrutement, il faut qu’on réponde vraiment aux problématiques du partenaire client et si on y arrive pas, il faut identifier les freins.
Enfin il y a le pôle audit qui va permettre de traduire un poste en compétences de “savoir être” et “savoir faire” et identifier quelles sont les améliorations et recommandations qu’on pourrait faire.
Le management en tant que dirigeant ça n’a rien à voir, quand on parle cela a plus d’impact, cela occasionne plus de stress. J’ai donc décidé de déléguer cette partie "managériale" à deux autres personnes.
Mon téléphone est mon objet indispensable, je passe toute ma vie au téléphone.
Retrouvez le parcours de Nicolas Morby dans le 10ème épisode du podcast "Tout seul"
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